Oeuvre en salle, 1990
Avec Absolut, on assiste aux métamorphoses d'un être errant à travers la dualité d'un personnage: identité trouble confrontée au désir d'être double, complet. D'être à la fois le féminin et le masculin.
Presse
Lucie Grégoire sème la danse à la manière d'un poème. L'émotion qui coule parvient, du début à la fin, à conserver intacte la part de mystère requise pour ne jamais franchir le seuil fragile de l'allusion. [...] La scène devient ainsi le lieu des évanescences. La musique pour sa part, extraordinairement belle (pour violon et saxophone), s'élève comme une plainte, un chant mêlé de mélancolie et de tristesse qui traduit par le son ce que Lucie Grégoire exprime déjà à sa façon, à travers le silence de son corps. Entre les deux, et avec les éclairages, la symbiose est réalisée.
— Le Devoir, Montréal, mars 1990
ÉQUIPE DE CRÉATION
Chorégraphe et interprète
Lucie Grégoire
Conseillère artistique
Élizabeth Albahaca
Musique
Maurice Bouchard (saxophone)
Helmut Lipsky (violon)
Éclairage
Marc Parent
Costumes
Marc-André Coulombe